La tata pensait être très loin des préoccupations mimilesques et blaireautiques et notamment de la délocalisation du Paris-Dakar dans la pampa argentine. Elle espérait même que certains gauchos, énervés par les vroum vroum de ces forcenés bagnolistiques et motolâtres, se livrent à quelques exactions, à coups de churrasco et de bols à maté, afin de gommer le sourire de ces conquistadors modernes dans du froissement de tôle à répétition. Eh bien, c’est raté. Un de nos neveux, parti là-bas, sur les rives portègnes du Rio de la Plata, nous a envoyés quelques instantanés, dont celui ci-dessus, saisissant au débotté le départ de la course, et surtout celui de Fred Vargas, confiante, winner, conquérante sûre sur sa Cavallo 750 cm3. Nous suivrons chaque jour le résultat des étapes pour savoir si notre concurrente préférée titille efficacement le chronomètre.
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