À Budapest, on peut visiter la « Terror Haza », musée (si l’on peut dire) des exactions commises par les nazis et les staliniens sur la population magyar. Intéressant. Les visiteurs soit gerbent, soit pleurent, soit sortent de là en cherchant un rade qui sert de la "palinka" (du marc à vous faite péter le pancréas) à la bouteille. Or, miracle, curiosité, surprise, le secteur dédié au communisme à la Kadar enferme, en son sein glacial, une effigie à Patrick Raynal faite par un sculpteur/ouvrier de grand talent. Un des neveux finno-ougriens de ta Tata lui en a envoyé la preuve.