La Dépèche du midi du 29 novembre revient sur le festival "Noires de Pau" du week end précédent dont Lalie Walker fut la marraine et la préfacière du recueil de textes des "Jeunes plumes" ayant gagné le célèbre concours de nouvelles organisé par l'association. Il y est question de "l'écrivain britannique" bien connue.
Ta Tata est morte de rire : encore des infos recoupées. Walker, ça fait whisky, ça fait anglais, alors forcément... Heureusement que l'auteure de thrillers ne s'appelle pas Laléon Walkerar ce que l'aurait immédiatement propulsée citoyenne guatémaltèque carburant au mezcal ou encore Wxalxkerx (prononcez Wtchaltchkertch), ce qui en aurait fait un liquide d'origine basque, type pacharan (alcool de prunelles sauvages), susceptible de se voir décerner le label vert "CEL" ("Certifié Economie Locale") qu'ils affichaient tous durant le salon.
Quoiqu'il en soit, bravo aux Noires de Pau pour leur travail autour de la nouvelle et félicitations aux gagnantes et gagnants du concours.
(Cliquez sur l'article pour le lire. Ci-dessous Lucie Abadia, présidente de l'association, et Lalie Walker lors de la remise des prix du concours de nouvelles).
2 commentaires:
Tut tut, pour faire basque il faudrait qu'elle s'appelle :
Laïté Walkeretche ou Walkegoyen, ou Etchewalker, ou encore mieux Etchexwalquegoyen.
Super blog, j'adore vos articles et reportages, bonne continuation.
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