Julie Malaure, qui aime tant le roman noir bourré de gauchistes, jurée de Paris Noir

Quelle surprise de lire dans la liste des jurys de Paris Noir le nom de Julie Malaure, journaliste traficoteuse de propos qui s'était illustrée avec des manipulations idéologiques dans Valeurs Actuelles ; lesquelles avaient énervé ta Tata. Alors elle l'aime ou pas le polar ? Alors c'est un repère de gauchistes ou non ? Ils sont fréquentables ou pas ? On ne comprend plus. Fais gaffe Juju, tu vas choper une chtouille idéologique quelconque et tu vas finir au mieux à Alternative Eco ou, horreur, dans Siné Magazine. Déjà que tu es défenderesse de Michel Onfray, ce philosophe libertaire... Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Une reconversion ? Une colonne de lumière anarchiste t'es tombée dessus ?
Puisque Serge Quadruppani est invité du salon, Julie Malaure pourra enfin discuter avec lui, et corriger ses fiches sur l'extrême gauche, ainsi qu'on le lui avait appris. On la plaint, car ce week-end elle côtoie avec lui un des pires : Quadruppani, soutien de Battisti, de ceux qui en général veulent la peau des carpettes du libéralisme comme celles qui écrivent dans Valeurs Actuelles. Ta Tata espère que le Quadru lui aura rappelé durant le salon cet article imbécile, à la Julie. S'il rafle le prix du roman, tu pourras toujours lui en parler ma Juju en lui remettant son bouquet de fleur + la bise.
En tout cas, tout cela prouve que les épouvantails ne sont plus efficients et que l'idéologie en littérature noire remonte bien au passé -polar gauchiste ou pisse copie du capital- tout est désormais mêlé dans une vaste foire à la vente de bouquins. Ma Juju va falloir que tu trouves des ennemis ailleurs et commencer à cacher aux canards de droite qui tu fréquentes.
Allez, on arrête là : on va nous accuser d'être les habitués, dans le polar, de la chasse aux sorcières. Puisque, semble-t-il, l'avantage d'être du côté droit de la bêtise est qu'on peut y raconter des conneries et ensuite... tout oublier.

Un transformiste aux "Terrasses du polar"

Ta Tata a tellement de tricot de retard à l'approche de l'hiver qu'elle te délaisse un peu. Mais ça reviendra, car elle a reçu des nouveautés de la part de quelques neveux. Voici un courriel de mon neveu Joseph Incardona qui, on va le voir, n'est plus lui-même et n'a plus toute sa tête.

Jaloux de la nomination de Romain Slocombe au prix Goncourt, je me substitué à son stand durant son absence. Surprise : je n'ai signé aucun livre :

Du coup, j'ai enchaîné dans la peau de Laurence Biberfeld :


Puis de Jean-Hugues Oppel (old fashion) ;



... de Patrick Raynal :


de Stéphane Michaka :





... et enfin de Marie Vindy :



... En vain. Les Terrasses du polar étaient désertes ce dimanche 25 septembre...