Tata trouve que ça sent le printemps


• Guérif dans le poste : l'histoire de Rivages Noir par Guérif et nombre d'interviews en vidéo d'auteurs (ici). Y'a pas un Français (P'têt qui sont trop nazes, ou quoi ?). En tout cas, ça à l'air surchargé de bouquins chez Guérif et cossu chez Nisbeth. Du coup ta Tata trouve son propre papier peint (ci-dessus) un peu daté.

Des polars et des nouvelles contre le cancer du sein : >ici

• Lâchez le pognon : faites lire vos manuscrits et vos scripts de polar par des pros (un scénario de long-métrage, un roman "de moins de 150 pages" parce que faut pas déconner non plus ou une pièce de théâtre), genre Michel Alexandre ou Michel Delgado. Ca coûte la peau du cul (de 240 à 660 €), et c'est ici.

• Baleine et le requin : un ragot au marché (le stand des légumes) a donné un peu de mal à ta Tata pour le vérifier. Il paraît qu'un certain "Marcos" s'apprêterait à sortir une biographie de Jean-François Copé (*) aux Editions Baleine (qui ne publient pourtant en ce moment que des Poulpe, et n'ont jamais publié d'essais). Recherche faite, en effet, il y a bien une Jean-François Copé ou la biographie impossible à sortir de Koskas Marco chez Amazon, mais l'éditeur n'est pas encore spécifié. Bizarre. Et Copé chez Baleine ? C'est quoi ça ? (Jean-François Platet ne répond pas à ce sujet). Ta Tata espère au moins qu'il va être aussi bien traité qu'un certain "Michel Lapoutre", ministre des sportifs dopés, dans l'excellent et réjouissant Poulpe de Ferey et Couronne, "D'amour et dope fraîche" qui vient de sortir. Parce que sinon à naviguer en eaux troubles en tanguant un coup à gauche (un Poulpe "A vos Marx, partez" de Jérôme Leroy va sortir) et un coup à droite, il va s'échouer sur la plage, le vieux cachalot. D'ailleurs Korkas Marco (ou Marco Koskas, avec tous ces étrangers qu'ont pas des noms comme nous, on ne sait plus, hein) sort un "Aline pour qu'elle revienne" prochainement chez Baleine (là, Platet vous assomme de sa pub). Bouquin de plage ou message subliminal ?
(*) L'homme qui a écrit qu'il arrêtait la langue de bois, en titre d'un livre qui commençait donc mal.

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